L’artiste est né à Bassorah, situé au sud de l’Irak, dans les années 50. Mais, l’artiste ayant aucune indication sur sa date de naissance, il fête son anniversaire le jour où il est arrivé en France, c’est-à-dire le 6 septembre.
À la suite, Fawzy Al-Aiedy publie ses premières œuvres :
- Disque nommé “Silence” (1971)
- Disque nommé “Bagdad” (1978)
- Son tout premier album “La terre” (1983), qui réunit des musiciens venus du monde entier.
- “Schéhérazade” (1987)
- “Le Paris-Bagdad” (1999)
- “Oud Aljazira” (2000)
Inventeur de “l’oriental jazz”, qui a pour but de marier le swing du jazz à la sensualité de la musique orientale. Il a participé à plusieurs créations, mais aussi d’un laboratoire de recherche entre la musique orientale et le groove occidental, qui aboutira, à l’apparition de “Radio Bagdad“, ainsi qu’un album du même nom (2010-2012).
De nombreux spectacles se poursuivent :
- “Privé de désert” (2011)
- “Ultime prière – Chants sacrés d’Orient” (2011-2013)
- “Exil mon amour“
- “Entre deux roseaux, l’enfant” (140 représentations nationales)
- “La traversée“
Pour la première fois de sa carrière, Fawzy Al-Aiedy, le compositeur-chanteur-musicien d’origine irakienne, nominé aux Django d’Or, produit sur les scènes internationales depuis plus de 30 ans, rend hommage à la chanson arabe de l’Orient (Irak, Syrie, Liban, Jordanie, Égypte) et du Maghreb (Maroc, Tunisie, Algérie), hommage pimenté avec ses propres mélodies.
Sortie Nationale du Nouvel Album “ISHTAR CONNECTION” , le 8 novembre 2019,
en physique et sur les plateformes digitales (Inouïe Distribution)
À travers Ishtar Connection,les chansons, les modes et les rythmes traditionnels dialoguent avec les sons et les pulsations électroniques, une alchimie inventée par un maître de la musique orientale et trois jeunes musiciens issus des musiques actuelles : Vincent Boniface, multi-instrumentiste valdôtain, Amin Al-Aiedy aux arrangements et à la basse, Adrien Drums à la batterie et à l’électronique, sur des sons crées par le beatmaker Gstn.
Figure majeure de la mythologie mésopotamienne, Ishtar, considérée comme la déesse de l’amour, mais aussi, paradoxalement, celle de la guerre, symbole de la dualité et des contraires, donne sens à ce projet, et crée un pont entre la tradition et la modernité.
C’est donc un Orient éternel et mythique qui résonne à travers ce projet, alliant musique traditionnelle et pulsations électroniques, traditions séculaires et ambiances modernes, cultures arabes et occidentales dans une approche festive.
Pour plus d’informations sur l’album “Ishtar Connection” :
Pour plus d’informations sur l’artiste :